¡Hola a todas!
Tengo el blog un poco abandonado, pero mi tiempo no da para más. Estoy yendo a clase de francés, que desde el instituto no había vuelto a tocar, y mi profe nos puso a practicar con canciones; ésta es una de ellas y me gustó tanto que quiero compartirla con vosotras.
Siento mucho no poder asistir a las actividades de La Asocición de Mujeres Dulce Chacón, y me dan mucha envidia los comentarios de Mariló en su blog, pero los viernes voy a las 16:30 a Internet II con Tiempo Propio, a las 19:00 a Pilates y a las 20:00 a Bailes de Salón. A partir del 14 de Enero que termino con Internet, ya podré ir cuando no trabaje. Ahora voy a escribir la letra de la canción en francés, que me llevará 5 horas, por si alguna quiere practicar. Besitos.
Paroles de La robe et L'échelle de Francis Cabrel
T'avais mis ta légère
Moi l'échelle contre un cerisier
T'a voulu monter la première
Et après
Y'a tant de façons, de manières
De dire les choses sans parler
Et comme tu savais bien le faire
Tu l'as fait
Un sourire, une main tendue
Et par le jeu des transparences
Ces fruits dans les plis du tissu
Qui balance
Il ne s'agissait pas de monter bien haut
Mais les pieds sur les premiers barreaux
J'ai senti glisser le manteau
De lénfance
On n'a rien gravé dans le marbre
Mais j'avoue souvent y penser
Chaque fois que j'entends qu'un arbre
Est tombé
Un arbre c'est vite fendu
Le bois quelqu'un a du le vendre
S'il savait le mal que j'ai eu
A descendre
D'ailleurs en suis-je descendu
De tout ces jeux de transparence
Ces fruits dans les plis des tissus
Qui balancent
J'ai trouvé d'autres choses à faire
Et d'autres souries à croiser
Mais une aussi belle lumière.
Jamais
A la vitesse où le temps passe
Le miracle est que rien n'efface l'essentiel
Tout s'envole en ombre légère
Tout sauf ce bout de fièvre et de miel
Tout s'est envolé dans l'espace
Le sourire, la robe, l'arbre, et l'echelle
A la vitesse où le temps passe
Rien, rien n'efface l'essentiel
J'ai trouvé d'autres choses à faire
Et d'autres sourires à croiser
Mais une si belle lumière
Jamais
Et voila que du sol où nous sommes
Nous passons nos vies de mortels
A chercher ces portes qui donnent
Vers le ciel.
Jamais
A la vitesse où le temps passe
Le miracle est que rien n'efface l'essentiel
Tout s'envole en ombre légère
Tout sauf ce bout de fièvre et de miel
Tout s'est envolé dans l'espace
Le sourire, la robe, l'arbre, et l'echelle
A la vitesse où le temps passe
Rien, rien n'efface l'essentiel
J'ai trouvé d'autres choses à faire
Et d'autres sourires à croiser
Mais une si belle lumière
Jamais
Et voila que du sol où nous sommes
Nous passons nos vies de mortels
A chercher ces portes qui donnent
Vers le ciel.